Sarah Tritz propose au spectateur des sculptures hétérogènes (matériaux récupérés, objets trouvés et offerts), des modelages et moulages, et des dessins.
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Sarah Tritz interroge la pratique d’atelier, l’expérimentation de l’équilibre et la limite du reconnaissable, cherchant à laisser place à l’appropriation par le spectateur des formes réalisées. Lors de Format Exchange, la pièce réalisée in situ, L’orgie grise, reprenait les codes du lieu, construisant au milieu de l’espace une ruine en parpaings où les références aux minimalistes jouxtaient, par les Chanteurs Lyriques celles faites aux expressionnistes. Cet écart permet l’interstice de la rêverie.
-Anne Kawala pour 02 n°43, 9 F artists under 6, automne 2007.
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